• Deux graines reposaient l'une à côté de l'autre dans une terre fertile au printemps.

    La première graine dit: "Je veux grandir! Je veux plonger mes racines profondément dans la terre et lancer ma tige haut dans les airs... Je veux voir mes bourgeons s'ouvrir comme des bannières annonçant l'arrivée du printemps... Je veux sentir le soleil réchauffer mon visage et la rosée matinale bénir mes pétales!"

    Et ainsi elle a grandi.

    La deuxième graine dit: "J'ai peur. Si je plonge mes racines dans la terre, je ne sais pas ce qui m'attend dans cette obscurité. Ma tige est fragile, si j'essaie de percer la croûte de terre pour m'élever dans les airs, elle risque de se briser. Et si, à peine entrouverts, des escargots venaient à manger mes bourgeons? Et si je montrais ma fleur, qui sait? Un enfant pourrait m'arracher de terre. Non, il vaut beaucoup mieux attendre pour sortir qu'il n'y ait plus aucun danger."

    Une poule qui passait par là, fouillant la terre printanière en quête de nourriture, trouva la graine qui attendait et vite la dévora.



    MORALE DE L'HISTOIRE

    Ceux qui ne veulent pas prendre le risque de grandir se font avaler par la vie.

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  • Une vieille légende indienne raconte qu'un brave trouva un jour un oeuf d'aigle et le déposa dans le nid d'une « poule de basse-cour ». L'aiglon vit le jour au milieu d'une portée de poussins de basse-cour et grandit avec eux.

    Toute sa vie l'aigle fit ce qu'une poule de basse-cour fait normalement. Il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture. Il caqueta de la même façon qu'une poule de basse-cour. Et lorsqu'il volait, c'était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine.

    Après tout, c'est ainsi que les poules de basse-cour sont censées voler.

    Les années passèrent. Et l'aigle devint très vieux. Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage. S'élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants, faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.

    "Quel oiseau splendide !" dit notre aigle à ses voisins.
    "Qu'est-ce que c'est ?"

    "C'est un Aigle, le roi des oiseaux," cacqueta sa voisine. "Mais oublie ça. Tu ne seras jamais un aigle."

    Ainsi l'aigle n'y pensa jamais plus.

    Il mourut en pensant qu'il était une poule de basse-cour.
    Saviez-vous que l'aigle sait quand une tempête s'approche et cela bien avant que celle-ci n'éclate. Alors l'aigle vole vers un endroit élevé et attend que les vents arrivent. Quand la tempête frappe, il déploie ses ailes de façon à ce que le vent l'emporte vers le haut et l'élève au-dessus de la tempête. Pendant que la tempête fait rage en dessous, l'aigle s'élève au-dessus de celle-ci. L'aigle ne fuit pas la tempête, il l'utilise simplement pour s'élever plus haut Il monte avec les vents qui apportent la tempête.

    Quand les tempêtes de la vie nous tombent dessus - et tôt ou tard nous en faisons tous l'expérience - nous pouvons nous élever au-dessus de celles-ci en réglant nos esprits et notre confiance dans la vie. Les tempêtes n'ont pas à venir à bout de nous.

    Nous pouvons nous élever au-dessus de la tempête. Rapelons-nous, ce ne sont pas les fardeaux de la vie qui nous abaissent, mais notre façon de les prendre.

    Brin de sagesse:
    "On ne peut donner que deux choses à nos enfants : des racines et des ailes".
    Proverbe chinois

    Bonne et Heureuse Année 2009!

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  •  Alain a reçu une voiture de son frère comme cadeau de Noël. La veille de Noël quand Alain sort
     de son bureau, un gamin des rues tourne autour de sa voiture flambante neuve, admiratif.
     

       "Est-ce votre voiture, monsieur?" demande-t-il.
       
       Alain hoche la tête. "Oui, mon frère me l'a offerte pour Noël." Le garçon est abasourdi. "Vous
     voulez dire que votre frère vous l'a donnée et qu'elle ne vous a rien coûté? Wouaaah, j'aurais
     aimé ..." Et il s'arrête.
     
       Bien sûr, Alain sait ce qu'il aurait aimé. Avoir lui aussi un frère comme ça. Mais lorsque le garçon
     poursuit, Alain sent l'émotion lui serrer la gorge.
       
       «J'aurai aimé," ajoute le garçon, "être un jour un frère comme celui que vous avez."
       
       Alain regarde le garçon avec étonnement, puis impulsivement il ajoute, "Veux-tu faire un tour
     dans ma voiture?"
       
       "Oh oui, ce serait génial!"
       
       Après un court trajet, le garçon se tourne vers lui :«Monsieur, pouvez-vous me
     conduire en face de ma maison? Elle est là-bas, au coin de la rue"
     
       Alain sourit un peu. Il pense qu'il sait ce que veut le jeune homme. Il veut montrer à
     ses voisins qu'il arrive chez lui dans une belle voiture. Mais Alain se trompe de nouveau.
       
       "Pouvez-vous m'attendre un instant?" demande le garçon. Il coure jusqu'à l'escalier. Et
     Alain attend un long moment. Que fait-il? Il arrive enfin, son petit frère handicapé dans les bras.
       
       Il s'arrête sur la dernière marche, et dit à son frère. "Elle est là,  frérot, tout comme je te
     l'ai dit en haut. Son frère lui a donné pour Noël et elle ne lui a pas coûté un centime. Et un jour
     je vais t'en donner une pareille tout comme celle-là ...

    alors tu pourras voir toutes les jolies choses dans les vitrines de Noël
     dont je t'ai parlé. "
       
       Alain est sorti et a pris lej eune homme à l'avant de sa voiture. Le frère aîné, les yeux
     brillants, est monté à côté de lui et tous les 3 ils ont sillonné la ville pour admirer
     toutes les vitrines illuminées de Noël.
     
     
       Il est souvent plus exaltant de
     donner que de recevoir.

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  • Un père et son fils se promenaient en montagne.  Soudain, le fils tombe, se fait mal et crie:  "AAAhhhhhhhhhhh!!!"

    A sa grande surprise, il entend une voix qui répète, dans la montagne:
    "AAAhhhhhhhhhhh!!!"

    Curieux, il demande:  "Qui es-tu?"

    Il reçoit pour toute réponse:  "Qui es-tu?"
    Agacé par cette réponse, il crie:  "Peureux!"

    Et entend: "Peureux!"

    Alors il regarde son père et demande:

    "Qu'est-ce qui se passe, papa?"

    Le père sourit et répond:

    "Mon fils, écoute bien, maintenant."

    Et il crie vers la montagne: "Je t'admire!"

    La voix répond:  "Je t'admire!"

    Il crie encore:  "Tu es un champion!"

    La voix répond:  "Tu es un champion!"

    Le garçon est surpris mais ne comprends toujours pas.

    Alors le père explique:

    "Les gens le nomment ECHO, mais c'est en fait la VIE. Cela te renvoie tout ce que tu dis ou fais.  Notre vie est simplement le reflet de nos actions.

    Si tu veux plus d'amour dans le monde, commence par en avoir plus dans ton coeur.

    Si tu veux que ton équipe soit plus performante, commence par être plus performant. Cela marche pour tout dans notre vie. La vie te rendra tout ce que tu lui donneras."

    VOTRE VIE N'EST PAS UNE COINCIDENCE.
    C'EST LE REFLET DE CE QUE VOUS PENSEZ ET FAITES !

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  •  

    Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré  la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l'air complètement affolée.

    Il s'arrêta devant la  Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté. Est- ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?

    Il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule . Bryan perçut sa peur.

    «Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud...  Mon nom est Bryan Anderson».

    Il constata qu'elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule.

    Bryan s'accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu, il s'était sali et blessé à une main.

    Pendant qu' il resserrait les  écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu'elle était de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.

    Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas d'importance tellement avait eu peur, s'étant  imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s'il ne s'était pas arrêté.

    Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu’aider quelqu'un dans le besoin.  Dieu seul savait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé.  Il menait  son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l’esprit d'agir autrement. Il lui  dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire; et il conclut, ' Souvenez-vous de moi'

    Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller. C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.

    A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route.

    C'était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés.

    Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était debout toute la journée.  La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d'environ huit mois mais que ni l'effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur !

    La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.

    Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle  finit son repas, elle paya avec un billet de 100$ . La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.

    Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit : « Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu'un m'a aidée à m'en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec vous.»

    Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. He bien ! Même s' il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir , la serveuse  décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle,  et en se mettant au lit , elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu' elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota  doucement à son oreille : « Tout ira bien. Je t 'aime, Bryan Anderson. »

    Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.

    Aujourd'hui, je vous envoie cette histoire. Je vous prie de la faire circuler... Permettez que cette lumière brille. Ne la supprimez pas !

    S'il vous plaît, passez- la à un ami. Les bons amis sont comme des étoiles… Vous ne les voyez pas toujours. Mais vous savez qu'ils sont toujours là. ..



    BONNE JOURNÉE À VOUS TOUS !  

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